La guerre de Sécession me fascine depuis mon enfance et j’ai failli en faire ma spécialité à l’université.
Je livre ici le produit de mon intérêt pour une des batailles majeures de ce conflit, en fait le chef-d’oeuvre tactique du général sudiste Robert E. Lee. Un travail que j’espérais pouvoir éditer un jour. Cela est désormais chose faite grâce aux éditions Ysec et à Yves Buffetaut.
L’ouvrage comporte de nombreuses cartes et est très illustré -plus de 150 photographies- grâce aux clichés, parfois très peu connus, issus essentiellement de la Library of Congress.
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La bataille de Chancellorsville constitue le plus beau combat mené par Robert E. Lee, un des généraux les plus talentueux de sa génération, et, plus globalement,de l’histoire américaine. Après une année d’affrontements disputés, il sort de nouveau victorieux d’une confrontation majeure s’étendant sur dix jours, tout en conservant son armée opérationnelle, en dépit des pertes subies. Lee, versé à l’art militaire napoléonien à West Point, brise tous les enseignements au cours de la bataille, enfreignant délibérément plusieurs règles cardinales des tactiques de combat. Ce faisant, il remporte néanmoins une victoire éclatante, en fait son chef-d’oeuvre de général. Joseph Hooker avait pourtant a priori tous les atouts de son côté : pourquoi a-t-il échoué ? La carrière de ces deux généraux est irrémédiablement rattachée à cette bataille.
SOMMAIRE
1. INTRODUCTION
2. CHRONOLOGIE CONTEXTUELLE
3. LEE ET HOOKER AVANT CHANCELLORSVILLE
4. L’ART DU COMMANDEMENT
5. DEUX ARMEES FACE A FACE : ORGANISATION, TACTIQUES ET ARMEMENT
La guerre de Sécession me fascine depuis mon enfance et j’ai failli en faire ma spécialité à l’université.
Je livre ici le produit de mon intérêt pour une des batailles majeures de ce conflit, en fait le chef-d’oeuvre tactique du général sudiste Robert E. Lee. Un travail que j’espérais pouvoir éditer un jour. Cela est désormais chose faite grâce aux éditions Ysec et à Yves Buffetaut.
L’ouvrage comporte de nombreuses cartes et est très illustré -plus de 150 photographies- grâce aux clichés, parfois très peu connus, issus essentiellement de la Library of Congress.
La bataille de Chancellorsville constitue le plus beau combat mené par Robert E. Lee, un des généraux les plus talentueux de sa génération, et, plus globalement,de l’histoire américaine. Après une année d’affrontements disputés, il sort de nouveau victorieux d’une confrontation majeure s’étendant sur dix jours, tout en conservant son armée opérationnelle, en dépit des pertes subies. Lee, versé à l’art militaire napoléonien à West Point, brise tous les enseignements au cours de la bataille, enfreignant délibérément plusieurs règles cardinales des tactiques de combat. Ce faisant, il remporte néanmoins une victoire éclatante, en fait son chef-d’oeuvre de général. Joseph Hooker avait pourtant a priori tous les atouts de son côté : pourquoi a-t-il échoué ? La carrière de ces deux généraux est irrémédiablement rattachée à cette bataille.
SOMMAIRE
1. INTRODUCTION
2. CHRONOLOGIE CONTEXTUELLE
3. LEE ET HOOKER AVANT CHANCELLORSVILLE
4. L’ART DU COMMANDEMENT
5. DEUX ARMEES FACE A FACE : ORGANISATION, TACTIQUES ET ARMEMENT
6. LA BATAILLE DE CHANCELLORSVILLE
7. LE DUEL LEE-HOOKER : LE TRIOMPHE DE L’AUDACE
8. ORIENTATION BIBLIOGRAPHIQUE
Recension “Verdun. 1916”
Recension de « S’adapter pour vaincre. Comment les armées évoluent » de Michel Goya
Recension de “Conduire la guerre. Entretiens sur l’art opératif”
Recension de “Le pont de la victoire. L’Iran dans la Seconde Guerre mondiale”
26 février 1943: l’ultime offensive de l’Axe dans le nord tunisien